Libérer lourdeur qui n’est pas sienne
Puisse tes épaules s’ouvrir sur ton cœur
Avec l’âme qui opère ton corps
Ton transport de plaisance
Selon l’heure du jour et l’ère du temps
Puisses-tu ne plus jamais t’accommoder du minimal
Pour t’élever dans la magnificence
Et expirer jusqu’à la dernière tumeur
Puisse ton champs d’imperfections
Assumer sa nature de constellation
Puisses-tu ne plus jamais t’accommoder du minimal
Pour t’élever dans la magnificence
Et expirer jusqu’à la dernière tumeur
Puisse la source même de la lumière
Transpercer ton corps jusqu’à ton esprit malade et lucide
La somme des beautés du monde
Puisses-tu ne plus jamais t’accommoder du minimal
Pour t’élever dans la magnificence
Puisses-tu te bercer l’âme comme moi je sais la prendre
Puisses-tu te guérir comme je t’aime